CARTAGHENE
24 juillet,
Au réveil, nous nous posons la question de l’heure d’ouverture du pont, nous appelons le port de Tomas Maestre, avec la VHF. J’ai posé la question en espagnol et le marineros m’a répondu en anglais, mon espagnol n’était pas au top. Après avoir déchiffré sa réponde, car il parlait vite, trop vite pour notre niveau d’anglais. A la jumelle je repères des voiliers qui se déplacent vers la sortie de la Mar, nous levons l’ancre et parcourons les quelques milles qui nous séparent du pont à vive allure, manette des gaz à fond, nous sommes en retard, le pont ouvrait à 10 h et les instructions nautiques parlaient d’une ouverture à 11 h.
Le préposé du pont depuis sa tour, nous vois arriver, il a la gentillesse de nous attendre, nous lui faisons un signe de la main en remerciement, ouf, nous voila sorti.
Nous mettons le cap sur Carthagène ; nous arrivons à 17 h devant le port et j’appelle à la VHF en Espagnol, on me répond en Français (mon Espagnol est vraiment mauvais).
Après avoir amarré le bateau, avec l’aide du marineros, nous allons à la capitainerie. Et là surprise, que voyons nous, un gros écusson du Rotary Club, mon dieu où sommes nous tombé, notre budget va exploser.
L’accueil est fort sympathique, l’hôtesse d’accueil du port, parle un très bon français, elle a vécu de nombreuses années à Irun et son mari est basque. Elle nous énumère tous les services que nous offre le yacht club (piscine, restaurant, Internet, eau, électricité.), nous donne le tarif (un tarif plus que raisonnable),
Nous avons une place à quai en pleine ville. Le soir, ballade dans la ville, beaucoup de gens prenne le frais car la journée la chaleur est étouffante avec beaucoup d’humidité. Carthagène est placé dans une baie bien profonde, entouré de collines, ou le vent à peine à rentrer.
Visite du thêatre romain, murailles byzantines, une jolie porte de l’arsenal, construite au XVII siècle dans les murailles de Carthagène, la seule conservée.