Village de CAMPINHO - SAPINHO et l'Ile de GOIO
13.02,
Après une nuit paisible, nous levons l’ancre pour aller mouiller à 1 mille environ au Sud du mouillage de Campinho et face au hameau Sapinho.
En face de se mouillage se trouve la petit ile de Goio, une longue étendue de sable couverte de cocotiers et bordé de sable blanc.
A la pointe Nord se trouve la seule construction de l’ile, un petit restaurant caché dans la verdure.
Après avoir planté la pioche dans le bras de mer qui sépare les 2 Iles, en annexe nous débarquons tous les 4 sur l’Ile de Goio ou nous profitons de la plage de sable blanc, du soleil et de l’eau à 28 degrés. Oui je sais, dur, dur ! La retraite !
Après le bain, nous avons débarqués également sur l’autre rive pour visiter le petit hameau de Sapinho.
Nous musardons entre les petites maisons sur des chemins de sable pour atteindre le pont de bois qui enjambe le petit rio do Sapinho et nous permet d’accéder à l’autre partie de l’Ile. La balade se poursuit jusqu’au rio Campinho que l’on peu passer à pied à marée basse sur les bancs de sable.
Sur le retour de la ballade, nous observons 2 pêcheurs relevant leur filet chargé de quelques poissons. La ballade se termine et nous rentrons sur Odysséa.
Nous retournons dans la soirée au mouillage de Campinho pour partir tôt le lendemain matin, direction de l’Ile d’Itaparica, notre base paisible.
14.02,
Départ à 3 h 00, au moteur car pas de vent. Le logiciel opencpn me permet d’inverser le tracée de ma route d’arrivée, ce qui me facilite la tâche par cette nuit noire en absence de balisage. Seul point de repère, le feu vert sur tribord de la Ponta Muta et le phare de Taipus, feux blanc de 15 secondes. Une fois passé ce phare, cap au large, les difficultés sont passées. A 7 h 00 un vent de 13 nœuds de Nord Nord Ouest se lève, nous marchons à 5 – 6 noeuds, vent de travers. A 13 h 00 le vent change et passe au Nord puis Sud Sud Est, ce qui nous permet à 15 h 00 de rentrer dans la baie des Saints de Salvador sans tirer de bord et de rejoindre le mouillage d’Itaparica au portant. A bord, personne de malade durant cette navigation, Christine et Claude ont pris du Stugeron, ce qui leur a permis de participer à la navigation et à la vie à bord.
Nous plantons l’ancre à 18 h 00, devant la marina d’Itaparica après 15 h 00 de nav.